Dérèglementation Internet, le 1ER Amendement est Violé

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ Par Dan Albertini

Entre (). Quand Hitler proposa ses dérogations, le nazi consentant était plus que coupable aux commandes. Cela a commencé par un point puis il a appliqué, excellé. Fermons les ().

Le 14 décembre en cours on a « franchi le Rubicon ». US, dérèglementation de l’Internet. Équivalent malicieux du Watergate. Cela n’a su avoir lieu avec GW Bush, mais a pris corps sous la gouverne de DJ Trump. Le président n’est un non-initié car il gère autant sinon plus de liens d’adresse IP/inc que de Trump-Tower à travers le monde. Ce depuis bien avant sa présidence effective. La passion personnelle l’emporterait sur la chose inscrite à même la constitution. Le droit d’expression. En dérèglementant l’internet aux États alors, cela rend-t-il fautif le président qui bénéficiera directement de retombées gérées par ses deux fils en charge, de ses entreprises, et comment, l’Amérique devient-elle ainsi à risque ?

Savions-nous que ce serait la tentation où la présidence n’allait pouvoir y résister ?

Notre position a toujours été claire, pas de manifestation émotive inutile. L’actuel chef d’État américain est libre de sa forme d’expression, de ses tweets aussi ». Nous savions cependant, en certitude absolue, que son personnage constituerait sa propre pierre d’achoppement, à la manière de feu Howard Hughes, dans le passé. La tentation serait si grande, il n’en mesurerait réellement le risque. La dérèglementation de l’Internet in US est un accroc grave envers le 1er amendement. Constitution qui garantit absolument le droit d’expression. Crime économique s’il y a, est grave en soi et, c’est de là la déstabilisation sociopolitique qui va permettre toute dérive par effet de causalité. De là l’agression de toute autre instance, si la société ne se redresse dans l’immédiat. Ce sera la chute définitive de la garantie américaine scellée depuis San Francisco juin-1945, dépositaire de l’original de la charte des UN. Le Président est-il alors lié à ce principe où le statut plus que l’argent va opérer un système qui pénalise le droit universel fondamental, en retournant aux vieux principes coloniaux de princes nés et de tiers classe née, avant la Révolution haïtienne de 1791 ? On ne saurait se rendre aveugle, n’est-ce pas Moscou fléchie pour re-épouser en monarque Vladimir Poutine ad vitam aeternam !

La solution chinoise prête

Ce serait en effet avec ce sentiment de résignation, mais pas en convoitise, le monde n’a ce choix malheureux. Adopter la solution chinoise, béquille ne fait repousser jambe amputée. Elle offre l’illusion, celle du bonheur. Passant par la voie réservée chinoise, le satellite au prix d’intégration, le principe « dollarama », en attendant de réclamer plus, par voie d’exclusivité. La citoyenneté américaine ne saura plus rien dire sinon l’enclavement qui se renforce par érection de murs d’illusion. Cacher la peur cracher le feu, religieuse ambitieuse l’Iran lanceur de satellite est le prétexte parfait de ce feu car nous ne vivons plus le syndrome du diable. Le Vatican lui-même à risque, faute du cardinal pédophile papabile, l’Allah-satellitaire est de grande ambition économique mais tardive. Cause : l’Ayatollah va-en-guerre contre-émir, dans le golfe, au Moyen-Orient. Pas assez de satellites en orbite pour couvrir l’espace du globe en mode CGPS. Ce que Pékin se serait évertué à déployer en duo avec le monde mais en solo parallèlement. La petite tête rentre à la retraite tandis que le grand dragon déploie ses ailes. Rien à voir avec l’Apocalypse, ce sont des symboles nationaux contemporains, petite, l’aigle par rapport au dragon. L’unique solution resterait la chute entière du régiment d’affairistes qui violent ainsi le 1er amendement (Bill of Rights) par « délit d’initié ». Les ombres parleront.

Si le citoyen ne revendique en bloc ce tronc commun à New-York, alors basta la liberté ! Ce dérèglement concerne tout le système onusien en fait. Passant par l’IUT, le monde a financé localement globalement, tandis qu’Amadoun Touré a opéré la séparation de trois plateformes. Le coût unitaire a explosé en trois coûts séparés/unifiés exponentiels rehaussés, non de qualité ni de service. Ceci, enrichissant de façon phénoménal l’état taxateur, et le provider seulement qui bénéficie de fonds de recherches tirés des taxes collectées, en sus le politicien corrompu et surpayé. Et, le droit-citoyen se mue aux oubliettes par robot-répondeur aux frais d’appel appliqués s’il revendique.

Bref, perte de vitalité démocratique pourtant prônée à l’UNESCO. Mise à risque de l’humain, péril hélas combattue sans résultat à l’OHCHR. Ce décalage se vit déjà à l’ICAO/« no country left behind », qui planifie en zone de développement de drones, de voitures futuristes. Ville verticale intelligente où la Trump-Tower-globale serait signe du temps. Ce monde veut un bas-monde.

Le monde ne peut se taire, l’Amérique ne doit s’y plaire, c’est coupable !