DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
- Donald Trump Choisi a Lago pour Concrétiser Howard Hughes à Las Vevas
- Entre (). La RD crie faillite en son acte léonien, mais se plaint d’Haïti qui la nourrit, fermons ().
C’est l’histoire de l’Haïtien qui véhicula la rumeur de sa mort pour gagner en sympathie ceux à qui il avait porté des coups. Pris de frayeur sur sa rumeur de la mort simulée, il alla se cacher dans le coin pour ne pas être rejoint et mourir ainsi de sa rumeur. Il mourut là seul, caché dans le coin. Même Satan ne vint le réclamer, ayant cru à une fausse rumeur. Amusé, Dieu ne vint non plus, mais en rit de la blague, tant on est bon comédien. Il y dit : c’est une blague haïtienne ! En effet, nous sommes le peuple de l’imaginaire. La folie est là, ailleurs !
Mis dans un autre contexte, l’analogie suit pour poursuivre la blague dans le contexte haïtien où elle une vis sans fin. La suite enchaîne le même individu. C’est l’histoire d’un Américain qui simula la rumeur de l’exil. Donald Trump alors pris de panique il appela le Sénat majoritaire républicain pour lui faire croire que les démocrates tentent de monter un coup d’État contre lui au Congrès pour l’exiler aux États-Unis. Il demanda ainsi à Lindsey Graham de lui arranger l’asile avec Mitch McConnell afin qu’on l’envoyât à Moscou de préférence. Satan étonné, mais surtout débordé par cette théorie du complot non fondé à gérer envoya le dossier vers l’administration de l’éternité. Dieu pris de compassion pour l’âme pécheresse de cet homme dont la folie mensongère, car il n’y a pas de coup d’État aux É.U., sourit, et lui inventa l’asile fédéral pour fou en folie, notion garantie sans convention de Genève, sur une île américaine loin de Manhattan. Avec liberté de circuler, Donald sur le littoral près de l’océan, trouva ainsi la copie originale de l’acte de naissance américain de Barack Hussein Obama qu’il y fit jadis cacher par les soins de Gingrich, piqua une crise plus sévère et cria : au secours, c’est une île américaine. Dieu pris de pitié cette fois-ci, lui envoya toute sa famille ainsi visée, par la loi sur le regroupement familial. Satan se voyant dépassé une fois de plus, étonné, s’avoua ne rien comprendre dans les affaires de Dieu. Asile n’est pas exil, Moscou n’est pas en Amérique, se dit-il sur la foi de l’ours ! Manafort n’est pas plus Maheu, je crois qu’il l’a oublié.
Venons-en au fait, la preuve est établie, l’ami de l’abbé du deal en l’occurrence Roger Stone a perdu son pari de vedettariat : coupable, reconnu par jury. L’abbé du deal crie-t-il alors à tous : au secours, évincez-moi, qu’on ne le saisit au point de craindre le pire ? Dramaturgie d’après Howard Hughes : une infirmière, deux dont une pour la liaison, un agent de sécurité pour éloigner la presse, l’huissier étant d’office, un comptable pour payer ses avocats, une caméra OFF pour faire croire à la vigilance. Amusant, la presse historique a de la matière.
Nous connaissons tous le reste du scénario de Las Vegas sur les hectares de terrain de golfe cette fois-ci. Si c’est l’analogie de la blague haïtienne qui prévaut, si la clémence du juge est humaine par contre, le littoral insulaire de l’Amérique s’il est en Floride, s’il n’est pas en toute liberté de là où l’on sait, l’ex-baron de UK condamné emprisonné là-bas, depuis grand pardonné par le président Donald J Trump, après sa libération, verra-t-il son ancienne place, son ancien lit, offert à son bienfaiteur, ce malgré ses invectives pour créditer un président aujourd’hui dénoncé pour «bribery», par la ‘Speaker of the house’, Nancy Pelosi ? Je présume que la diplomatie globale comprend ici-là. Pelosi-Schiff vont-ils convoquer jòv ?
La leçon de l’analogie peut-être tout aussi zézé que la réalité concernée aux É.U. Le détenu convoquera-t-il le président jòv accusé par l’UCREF (Haïti), sur sa portion légale, qui lui, le croyant toujours avec un drapeau américain, un pouvoir établit pour faire chanter Maduro ?