DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
- L’ex Baron Marchand qui Vend de la Trumpdésuétude
Entre (), vous n’avez sûrement pas encore vu l’intro d’un Haïtien nommé Jean-Claude Valbrun pour exprimer son besoin d’aider. Il vit en France, a été DAF, est retraité. Sa passion : une clinique en faveur des Haïtiens du Batey de Consuelito à San Pedro de Macoris RD. Le coût est discrétionnaire, mais le nom honore un poète haïtien qui a vécu là-bas : Jacques Viau. Les soins sont gratuits, fournis par Santé-RD…. Ça a étonné Luis Abinader Corona. Fermons ().
Pourquoi vouloir voir en la Trumpdésuétude un produit viable au point de perdre sa carte de baptême chez le vicaire de San Reno qui n’existe pas ? C’est le drame vécu de l’ex-baron B.
C’est la tentative de la Le-Penisation à Washington après la visite de Bannon chez Marine LP.
Résultat : une série en vogue chez les racistes : trumpineptie, trumpséduétude, trumptitude, trumperie, trumpenspectacle, trumptrahison, heureux que le Canada du NORAD profite en ce sens de ses frontières sinon ce serait une catastrophe. En fait, l’observatoire a anticipé.
Vendre une idée raciste, telle que cela se passe à Washington, l’acte est illégal au Canada, car c’est la marchandise désuète qui ne peut être importée sous le couvert de produit vert1. Le racisme est fini et interdit d’importation. La loi sur l’industrie et sur le commerce interdit l’importation de tout produit non conforme. Sinon c’est un commerce illégal et une publicité mensongère que de publier une fiche technique pour tromper. L’acte de patriotisme négatif en voulant tromper ses compatriotes au profit d’un raciste, Durban II l’interdit. Politique… .
Mémoire de travail : ex-tôlard vs ex-lord aux frontières
Qu’en est-il de la mémoire de travail de l’ex-tôlard gracié ? Se croit-il bon vendeur par sa peine absoute ? L’atelier du cerveau de C Black, est-ce le besoin d’attention d’un ex-lord, de reconnaissance ou un besoin de gloire désespéré ? Comme le besoin d’être d’un serviteur ?
En fait, en traversant les frontières il n’y a plus de gloire sauf au Québec pour un besoin de réinsertion rejetée par le Canada, les archives demeurent. Au passé de tôlard, c’est la même sémantique au nord de l’Amérique du Nord pour C Black, ce par la vertu du questionnaire de l’immigration et des douanes. Il n’y a pas de place ni de question de grâce potentielle, mais sur le risque de récidive d’un ancien bagnard, oui. Même valeur pour le quêteur de statut de réfugié : avez-vous déjà été condamné pour un crime commis…, aux États-Unis, dans ce cas-ci. Si oui, oups, attention, il faut signaler l’indésirable. Mieux, la mémoire numérique dit tout.
On n’effacera pas notre mémoire archivée, pour un crime ni pour un criminel. Les archives coloniales (France, GB) existent encore, évidemment contre ceux pourtant exilés pour cause de politique révolutionnaire, accusés de lèse-majesté sous forme criminelle. L’apologie de l’ancien communiste est politiquement répréhensible aux États (US) comme le passé criminel appris même par la presse en passant sur la frontière cela vaut une amende régulière. Faut-il se demander si C Black peut passer librement les frontières, la loi parlera. Je crois en outre que C Black a besoin de voir le film ‘la chute de la Maison-Blanche’ de Rothenberger-Benedikt afin de comprendre enfin ce que l’on ne doit essayer de détruire par les préjugés.
Donald J Trump a-t-il été préprogrammé ou s’est-il lui-même programmé jusqu’à la société Ivanka, pour commettre la grosse bêtise ? Nous sommes au seuil d’un événement évitable. Conrad Black ne le sait-il pas ? Sinon, il serait complice dans l’affirmatif. Il ne viendra alors revendre son paquet ici au Canada, après.
Indices : produit vert1 – écologie politique, le racisme est cité ici, étant dans le sens contraire.