LA JUSTICE AMÉRICAINE RETIENT LE PASSEPORT DE DSK DE PEUR QU’IL NE S’ÉCHAPPE COMME UN VULGAIRE VOLEUR par Dan Albertini

Si une certaine rhétorique permettrait de croire en l’impossibilité pour DKS de fuir sans conséquence, la Justice américaine en a décidé autrement. Les colonnes publiées sur l’affaire minaient effectivement toute tentative de fuite de l’inculpé, mais le passé de cet homme ne le rend pas crédible au point de lui remettre son passeport. La prudence de la justice démontre que DSK est un élément à risque, même si on lui enlève les menottes dans le but de pouvoir se défendre sans entraves dans un pays de droit.

La décision du juge d’enlever le bracelet électronique du pied de l’accusé, rend-t-elle Dominique Strauss-Kahn moins coupable ?

Oh que non ! Les accusations ne sont pas levées, l’affaire se présente encore comme telle. Question : la police a-t-elle trouvée du sperme de DSK ou des traces d’ADN de l’accusé, là où il ne fallait pas ? La journaliste française, Tristane Banon en l’occurrence aurait-elle menti elle aussi ? Quand cet homme plaçait dans l’embarras la réputation du FMI dans une autre affaire sexuelle ? Quand Marine Le Pen, avocate, se risquait à dire publiquement que tout le monde savait… ?

Dans les anales de Scrupules, la présence de la fille de Claus von Bülow a-t-elle fait de l’accusé, un innocent ? Enfin, pourquoi ne pas passer à autre chose, pourrait-on se dire, force de complications. Ben non, le crime de l’un ne peut se justifier par un incident que l’on crée pour empêcher à l’autre de trouver justice. Quand la loi a été violée. Ce qui nous ramène aux nouveau dénouements dans l’affaire DSK. La question est toujours sans réponse : où se trouvait réellement Anne Sinclair la femme de DSK, pour savoir avec assurance qu’il n’y a pas eu viol ni agression ? Si l’ADN de l’accusé se trouve au mauvais endroit d’après le dossier de la police, aurai-elle assisté ou négocié pour en savoir autant, avec autant d’assurance ? Pourquoi cette question à tout le moins stupide s’interrogera-t-on ? Alors pourquoi définir avec tant d’attention, les potentielles relations du procureur de New York avec la famille Sarkozy, pour tenter de le discréditer, tandis qu’on ne se pose aucune question sur les procureurs de l’accusé. Me. Benjamin Brafman paie-t-il tous ses impôts régulièrement, qui fréquente-t-il ? Qui est ce citoyen dans ses devoirs de citoyen : civique comme corporatif ? Il ne peut y avoir de présumé démon dans un seul camp, conjoncture oblige.

Qui est DSK ?

C’est un homme d’une gauche qui vit dans un luxe sans scrupule et dont la philosophie consiste tout simplement à critiquer le capitalisme par défaut et à miner ses efforts de progrès en armant les naïfs, sans être capable de nourrir le peuple. Une sorte d’obsession d’idéalisme primaire. DSK est aussi celui qui est accusé par Tristane Banon, pour des actes qui s’apparentent à ceux de New York. DSK est décrit par une journaliste de …. Libération….comme un paranoïaque qui se voyait victime de ses propres délires de mauvaise conscience. DSK est celui que le PS dit vénéré par défaut, puisque ne pouvant trouver mieux pour dédouaner Sarko de son siège. DSK est celui qui ne laissera aucune chance aux femmes qui ont maintenu le PS en vie alors qu’il vient tout simplement récolter. DSK est en fin, celui qui président, minera le judiciaire à son seul profit pour dissoudre toute tentative de justice quand il sera accusé pour ce type de méfait. DSK est tout simplement l’image de la France perverse qui tente le coup du complot.

La thèse du complot

C’est une calomnie mensongère pour tenter de cacher la forêt par un arbre émondé dont les feuilles desséchées par un ver. Le vice que tout Français a su de l’arbre. Pourquoi élucider ? C’est une déclaration très grave, surtout quand le sujet se dit visé craindre les Russes amis de Sarkozy. La première question : que serait dans ce cas, le lendemain DSK président, quand la Russie est un partenaire incontournable ? C’est encore plus grave puisque les allégations, c’en sont de vraies, parlent d’actes criminels russes sur le territoire américain, dans le but de miner une autre puissance étrangère. Une inconséquence barbare de guerre froide. C’est encore plus grave pour la Présidence française qui ne peut observer passivement une telle accusation quand attaquer l’image de la présidence française ne France est puni de crime de lèse majesté. Rappelons-nous de la photo de Chirac barbouillée par un jeune dans l’arrière pays. Il a été arrêté et puni par la loi. Exagération d’une par et complaisance d’autre part ?

La thèse du complot est décidément maladive car seul DSK serait une victime potentielle, ce qui obligerait l’Etat français à des dépenses supplémentaires de sécurité en cas de victoire électorale de celui-ci, sur Sarkozy, tandis qu’il devrait se rendre constamment un peu partout à travers le monde. La thèse du complot est carrément insensée quand on considère la légèreté d’un homme décrié de perv par Marine Le Pen qui affirme tout haut que la société française le savait.

Personne ne peut nier le droit à la défense de DSK, pourquoi donc nier celui de la plaignante au point de vouloir assassiner ses droits fondamentaux quand DSK ne peut tout simplement être crédible. Que dire alors des droits fondamentaux de Tristane Banon ? Cela n’est pas sans rappeler le cas différent de Florence Jarrier qui. voulant protéger les finances de la Vième République, s’est vue collée un dossier psychiatrique au point de lui faire perdre ses droits fondamentaux dont celui de la dignité et du droit au travail.. par é … Int/01-07-2011

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