PLUS D’HÉRITAGE POLITIQUE C’EST LE TEMPS DU CHANGEMENT POUR L’AMÉRIQUE ? par Dan Albertini – Les États Unies d’Amérique ont souvent été une histoire de liberté et un pattern de changements portés sur de longues périodes. Mieux que pour un individu, les primaires d’aujourd’hui devraient-elles faire avancer ou reculer par Obama ? Par Hilary ? Une histoire intéressante se dessine en héritage révolution.

De toute évidence, parler Martin L. King n’est pas considéré dans ces primaires 2008 comme un retour traditionnel du jeu racial en politique ni de discrimination positive. Hilary comme femme, pourrait revendiquer à des fins plutôt féministes, ce qui rentrerait aussi dans le second cadre. Ce serait alors un choix difficile qui favoriserait par l’abstention, un retour rapide non souhaité des Républicains à la Maison Blanche.

Cela engage de préférence une étape nécessaire dans la vie et dans la société. C’est ça l’histoire dynamique! mais c’est aussi plus que de l’histoire. La balance cyclique du nivellement social n’a encore atteint le degré raisonnable convoité par Martin L. King. Il existe réellement aujourd’hui une Amérique comme le disait Martin L. King. Mais il y encore trop ce côté : Être Noir Être Blanc, avec des mouvements pour des issues différentes que celles du citoyen Américain. Ce sont là des déchets post ségrégation à refuser, à jeter dehors, à nettoyer de notre société.

Soyons conscients, les efforts d’une Nation développée telle que les USA ne peuvent se contenter d’un passé à la Jess Jackson, Andrew Young, Juge Clarence Thomas et tant d’autres Noirs. C’est une mission inachevée dans le sens du ...Dream américain de Martin Luther. Aujourd’hui c’est malheureusement le cas : choisir Obama comme métis Noir contre Hilary comme femme – blanche. C’est le stade d’une intelligence sectaire atrophiée, véhiculée par des cowboys texans ou ailleurs, qui se vantent de l’arithmétique du Vietnam. Pourquoi donc ne pas le faire avec des héros des deux guerres d’Irak, d’anciens fantassins de la guerre du Panama de Man ou de la Contra et de la guerre contre la drogue en Colombie.

L’Amérique peut-elle avancer un peu plus loin que ça maintenant ? Il y aurait aussi les champions de la guerre technologique ou économique de Silicone Valley, ce pourquoi Mc.Cain du Vietnam n’est pas une valeur plus sûre qu’une autre.

Mais nous pensons qu’il est beaucoup plus important que Obama amène un changement relatif par rapport à des héritiers Clinton ici après un deuxième cycle de la dynastie Bush. Sinon ce ne serait pas l’Amérique. L’Amérique est une chance personnelle offerte pour maitriser le changement, pour soutenir la diversité chez ses citoyens comme nulle part ailleurs au monde. C’est une vérité car, même si la Canada accueillait des esclaves noirs américains en fuite, Il s’est inspiré des États Unies d’Amérique pour casser une certaine tradition jadis protégée pour nommer une Noir comme Gouverneur Général. Le Canada ne s’en porte pas moins bien d’ailleurs. L’Amérique alors, n’est pas l’affaire d’une couronne, aveugle en potentiel et en liberté profonde. L’Amérique c’est la voie que ne peut comprendre la Chine, les pays du golfe ou même l’Europe, mis à part la France qui se cherche en modernité après avoir occulté un certain passage de son histoire.

C’est donc pourquoi chaque Américain a besoin de soulever la question suivante : comment exhumer les problèmes raciaux de la bulle nationale américaine encore imprégnée de spasmes de résistance, comment le faire pour nos racines, avec assez de confiance ? Obama interpelle après Jess Jackson et le mot afro ressort.

Discuter sur le Caractère afro américain a changé de l’époque des cercles de pionniers pour arriver à la réclamation d’une société juste au bénéfice de celui qui manifeste l’intérêt pour l’existence à travers la généalogie des ancêtres du métis Noir américain. C’est réellement nécessaire pour consolider l’avenir de l’histoire. Les primaires d’aujourd’hui peuvent-elles répondre à ce besoin ?

Être et devenir métis en Amérique après la première vague des enfants de Martin L. King c’est une question d’intérêt de démocratie générée pour soutenir tant les individus que la collectivité américaine. C’était la réponse du Rêve américain, un mélange, un point de rencontre. Ce n’est pas la généalogie du Black acceptable. Parce que le God bless America ne peut être sous la férule d’une ségrégation existentielle ou, de quelconque rétention de tradition superficielle.

Le manque d’expérience ne peut donc être l’intérêt des faiseurs de nouvelles ceci, en relation aussi avec les débuts de la présidence de Clinton, le mari de Hilary. Le candidat Dukakis ne l’avait-il pas jugé de simple petit gouverneur de l’Arkansas! Mais il y a fort à parier aujourd’hui que la fille Clinton récolterait toutes les faveurs d’un père président, comme expérience, n’eût égard à certains et même des Noirs peu raisonnables, parce qu’elle est une Blanche.

De toute façon Hilary n’est pas Bill non plus. Mais disons mieux, Bill Clinton a exposé son échec personnel en étalant la vérité les tentatives infructueuses pour la capture de Ben Laden sur la tribune de Fox News avec Chris Wallace. Cela ne signifie-t-il pas par association le manque d’expérience stratégique comme le veut la réalité avec l’héritage des Bush à la Maison Blanche ? Et alors, quel est ce faux prétexte de manque d’expérience requise qu’elle réclame à Obama le sénateur!

Est-ce à dire que développer la possibilité d’une nouvelle confiance collective serait une erreur si on passait simplement de Clinton à Rodham Clinton comme héritage quand les Républicains ont fait naufrager le bonheur américain comme rêve, ou, ce serait de réaliser une présidence Obama cette année même ?

Un bypass historique est nécessaire aujourd’hui comme objet d’un débat personnel pour chacun. maintenant! Int/29-01-08

archives: https://reseauhem-archives.xyz/plus_de_dynastie_changer_en_amerique.htm

le couple (peinture style capois inspirée de bill-hillary, tirée d’une histoire réelle des époux Toussaint) de MA